Agora débats/jeunesses est une revue de recherche quadrimestrielle et pluridisciplinaire en sciences humaines et sociales. Créée en 1995 à l’initiative de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire, la revue entend promouvoir la réflexion et la connaissance sur la jeunesse et les politiques de jeunesse.
Composé de chercheurs issus d’universités, de laboratoires et de disciplines divers en sciences humaines et sociales (démographie, géographie, histoire, sciences de l’éducation, sociologie…), le comité de rédaction est le garant, notamment par les principes et règles de fonctionnement ci-dessous, de l’autonomie et de la qualité scientifique de la revue. Il travaille au renouvellement régulier de son comité d’évaluateurs, ainsi qu’à son propre renouvellement, dans un souci de rigueur professionnelle et scientifique.
À l’exception des comptes rendus de lecture, qui sont évalués par le responsable des recensions (le rédacteur en chef), les articles soumis à la revue sont évalués en double aveugle : l’auteur ne connaît pas l’identité des évaluateurs, et ceux-ci ne connaissent pas l’identité de l’auteur. Il y a au moins deux évaluateurs pour chaque article.
Les articles qui ne sont pas conformes à la ligne éditoriale de la revue peuvent, par ailleurs, être refusés par l’équipe de rédaction, sans rapport d’évaluation.
En cas de doute ou de divergences d’appréciation entre les évaluateurs, des avis complémentaires peuvent être demandés.
S’appuyant sur les rapports des évaluateurs, l’équipe de rédaction prend l’une des trois décisions suivantes, dans un délai maximal de trois mois après réception du manuscrit :
1) acceptation du texte, tel qu’il a été soumis à la revue ;
2) refus ;
3) acceptation sous réserve de modifications mineures ou majeures.
Dans le dernier cas, l’équipe de rédaction prendra une décision définitive, positive ou négative, en fonction de la prise en compte par l’auteur des suggestions et commentaires qui lui auront été proposés par les évaluateurs et après renvoi de la nouvelle version aux évaluateurs.
Les membres du comité de rédaction et les évaluateurs doivent se récuser en cas de conflit d’intérêt avec l’un des auteurs ou avec le contenu du manuscrit à évaluer.
De même, tout évaluateur qui se sait non qualifié pour évaluer un manuscrit ou qui sait ne pas pouvoir le faire dans des délais raisonnables est tenu d’en aviser le comité de rédaction et de se récuser.
Le comité de rédaction tient compte, dans ses décisions, des exigences légales en matière de diffamation, de violation du droit d’auteur ou de plagiat.
Un membre du comité de rédaction ou un évaluateur ne peut utiliser dans ses travaux de recherche les données présentées dans les articles soumis avant leur éventuelle publication sans le consentement écrit et explicite de l’auteur.
Les manuscrits reçus sont traités comme des documents confidentiels. Aucun renseignement sur un manuscrit soumis à la revue n’est divulgué à d’autres personnes que le ou les auteur(s), les évaluateurs potentiels.
Ils sont évalués sur leur seul contenu intellectuel ou scientifique, sans distinction de race, de sexe, d’orientation sexuelle, de convictions religieuses, de nationalité, d’affiliation universitaire ou de philosophie politique des auteurs.
Les auteurs doivent garantir l’originalité de leur article et ne publier aucun texte qui s’apparenterait, sous quelque forme que ce soit, à de la contrefaçon telle que celle-ci est définie par le code de la propriété intellectuelle.
Les auteurs s’engagent également à ne pas soumettre un article qui aurait fait l’objet d’une précédente publication dans une autre revue ou un nouvel article qui reposerait exclusivement sur des travaux déjà publiés ailleurs. De même, les auteurs s’engagent à ne pas soumettre leur article à plusieurs revues en même temps.
La problématique devra être précise, suffisamment resserrée au regard de la longueur de l’article (35 000 signes). Elle devra faire apparaître le cadre de référence théorique sur lequel elle prend appui.
Clarté et simplicité de l’expression, rigueur de l’exposé et de l’argumentation sont souhaitables pour l’appropriation par un large public des travaux de recherche. La rédaction se réserve le droit, à l’issue de l’évaluation, d’intervenir sur le fond ou sur la forme soit directement en accord avec les auteurs, soit en leur demandant une réécriture.
Toute citation (ou utilisation de travaux d’autres auteurs) doit être identifiée en tant que telle et accompagnée des références appropriées, présentées selon le schéma habituellement retenu par la revue (voir Recommandations aux auteurs – Principes de mise en forme).
Tous les auteurs qui ont apporté une contribution significative à la conception, à la réalisation ou à l’interprétation de l’étude présentée dans le texte soumis à la revue doivent être mentionnés, par ordre alphabétique ou selon leur degré d’implication, et doivent joindre à l’article une courte notice biographique (fonctions, institution, thèmes de recherche, etc.), son courriel et une bibliographie (maximum 3 références).
L’auteur qui est en contact avec la revue doit s’assurer que seuls les co-auteurs appropriés sont inclus dans la liste des auteurs, et que tous les co-auteurs, après avoir vu et approuvé la version finale de leur texte, étaient d’accord pour soumettre cet article pour publication.
Les auteurs s’engagent à ne pas dépasser, dans les articles soumis, les règles du débat scientifique et à ne pas faire des déclarations diffamatoires qui pourraient être interprétées comme des atteintes à la réputation d’une tierce personne.
Ils doivent déclarer tout conflit d’intérêt potentiel, professionnel ou financier. Toutes les sources de financement non public à l’origine de la recherche présentée dans le texte soumis doivent être explicitement mentionnées.
Tout auteur qui découvre, après sa publication, une erreur ou une inexactitude importante dans son propre travail, est tenu d’en informer, sans délai, le comité de rédaction de la revue et de coopérer avec celui-ci pour publier un erratum, voire pour signifier le retrait de son article. Si le comité de rédaction ou l’éditeur de la revue apprend, par une tierce personne, qu’un article déjà publié contient une erreur importante, il doit en informer l’auteur. Ce dernier doit alors demander le retrait de son article, le corriger ou bien fournir les éléments susceptibles d’en justifier le bien-fondé.
Sur demande du comité de rédaction, les auteurs peuvent être invités à fournir les données brutes en relation avec leur recherche. Les auteurs s’engagent, dans la mesure du possible, à donner un accès public à ces données et donc à les conserver pendant un délai raisonnable après la publication.
Si l’article est fondé sur des cas cliniques impliquant des situations réelles, l’auteur s’engage à respecter l’anonymat des personnes auxquelles il est fait référence.
Les auteurs s’engagent, lors de la soumission de leur article, à autoriser la diffusion de celui-ci sous format papier et numérique – notamment via la plateforme cairn.info –, sauf notification expresse de leur part.