Les jeunes ne possèdent pas de la mort la vision fatale et irréversible qui est celle de leurs aînés, elle n’est pas perçue comme une destruction de soi, elle n’a pas le sens de la finitude de l’existence. Dans le propos de maints jeunes, surtout des adolescentes, elle est à l’image d’un sommeil dont on s’éveille un jour, un temps de suspension, voire de purification, qui permet de se dépouiller enfin des scories qui infectent l’existence.
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