Dans les territoires ultramarins, la mobilité est ancienne, complexe, faite de mouvements d’immigration et d’émigration. Ces mobilités sont subies, refusées, voulues, selon les territoires, les temporalités et les populations qu’elles concernent. Dans ce contexte, comment appréhender les mobilités des jeunes ultramarins et les actions des professionnels de jeunesse dans ce champ ? Quelles en sont les particularités et comment sont-elles vécues ?