Les accueils collectifs de mineurs à caractère éducatif seraient victimes d’un désamour, en particulier de la part de publics qui ne partent pas en vacances, de certaines tranches d’âge (préadolescent[e]s et adolescent[e]s), dans les quartiers ciblés par les politiques de cohésion sociale… Quelles sont les pratiques observées ? Quels regards jeunes et parents portent-ils sur l’offre qui leur est faite ? Quel est le regard des acteurs de l’animation de ces territoires sur ces enfants, leurs familles, leur métier d’animatrice/teur ou de directrice/teur ? La recherche réalisée par Stéphanie Rubi, par la richesse de son propos et les pistes qu’elle ouvre, rencontrera les préoccupations et contribuera utilement à la réflexion des acteurs des politiques éducatives et de jeunesse.